Salaire contre le travail ménager – Silvia Federici

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Texte de la brochure :

Le texte de Silvia Federici (auteure aussi de « Caliban et la sorcière », paruen juin 2014 chez Entremonde et Senonevero) « Wages against Housework » paraît en 1975 et en 1977 dans sa traduction française dans un ouvrage collectif « le foyer de l’insurrection, Textes pour le salaire sur le travail ménager » édité par le collectif féministe l’Insoumise de Genève. Ce livre collectif rassemble uniquement des textes autour de la perspective du salaire contre le travail ménager à propos des luttes importantes sur cette perspective en Italie, en France, en Angleterre, aux USA, et au Canada. Continuer la lecture de Salaire contre le travail ménager – Silvia Federici

Audre Lorde : le savoir des opprimées – Hourya Bentouhami

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Texte de la brochure :

Elle se disait poétesse, guerrière, socialiste et survivante d’un cancer du sein ; elle s’avançait contre la « haine virulente dirigée contre toutes les femmes, les personnes de couleur, les gays et les lesbiennes, les pauvres ». Née à New York en 1934, Audre Lorde est l’une des voix majeures de la pensée critique afro-américaine. Disparue en 1992 d’un second cancer, c’est une dizaine d’ouvrages, en prose comme en vers, qu’elle laisse derrière elle pour enjoindre, ou aider, à affronter le racisme, le sexisme, l’homophobie et le capitalisme. La philosophe Hourya Bentouhami revient ici sur l’œuvre de l’auteure, une œuvre qui revendiquait la colère, l’expérience vécue et la différence, et esquisse les conditions d’une politique de l’alliance : reconnaître les oppressions spécifiques. Continuer la lecture de Audre Lorde : le savoir des opprimées – Hourya Bentouhami

Vers le féminisme décolonial – Françoise Vergès

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Texte de la brochure :

Nous retrouvons Françoise Vergès dans un café associatif de Besançon. « Je ne rejette ni n’idolâtre l’Europe ou le monde postcolonial », écrivait-elle dans l’un de ses premiers ouvrages, Mémoire enchaînée. Celle qui tient l’île de La Réunion, où elle a vécu toute sa jeunesse et son adolescence, pour le point de départ de sa pensée précisait que cette circulation, entre les espaces et les langues, lui autorise « le détour » et l’usage des textes comme autant d’outils. Une décennie plus tard, elle préside le collectif Décoloniser les Arts et publie l’essai-manifeste Un féminisme décolonial. Cette première partie s’approche de cet adjectif, souvent décrié. Continuer la lecture de Vers le féminisme décolonial – Françoise Vergès